La Soumission de Lucien

Catégories : Gode ceinture strapon Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Je m'appelle Lucien. Je suis très fétichiste et plus soumis encore. J'avais décide depuis quelque temps de commencer à vivre pleinement mes fantasmes, en faire des expériences plutôt que des fantasmes platoniques. Cette découverte et dépassement de ma personne passaient par plusieurs phases. Voici l'une d'entre elles, de mon point de vue, mais pas seulement.

LUCIEN

Ce soir-là, j'ai appelé une agence de call-girls pour avoir une séance un peu spéciale.

  • Que désirez vous exactement?, me demande la femme au bout de la ligne

  • Euh... je voudrais une femme ... Dominatrice.

  • Il y a plusieurs niveaux de Domination, me dit-elle après quelques secondes. Vous pensez à quelque chose en particulier?

  • Oui. Euh... une femme un peu sévère et qu'elle porte un gode-ceinture.

  • Je vois...Très bien, je sais qui vous envoyer. Mais j'ai encore quelques petites choses à vous demander. Allez prendre une bonne douche. À partir de maintenant vous ne touchez plus a votre queue, COMPRIS? Ca c'était plus un ordre qu'une demande.

  • Oui Madame, j'ai compris.

En ce moment j'ai regardé ma queue toute dure dans ma main et instantanément ai arêté de me branler. Ensuite la même voix au téléphone m'a demandé mon adresse et dit que dans une heure j'aurais de la visite. J'ai essayé de réclamer pour le temps d'attente, mais elle m'a répondu que l'attente faisait déjà partie de la séance. Enfin elle m'a donné d'autres instructions et dit comment je devais m'habiller pour recevoir Madame Dominique, et sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle a raccroché.

Exactement 45 minutes après, on a sonné à la porte. Ensuite, la clef, que j'avais laissé, selon les instructions sous le paillasson, a tourné dans la serrure et j'ai entendu la porte s'ouvrir et des talons résonner sur le parquet. Mes instructions, que j'avais suivi à la lettre étaient de me doucher, me raser le pubis, la poitrine, les aisselles et les jambes, de m'habiller avec uniquement un tablier et de me mettre a quatre pattes sur le lit et devais regarder le côté opposé à la porte, vers laquelle étaient tournées mes fesses. Il m'avait été formellement interdit de regarder la porte sauf si j'en recevais l'ordre. Pour ne pas me faire trahir par ma curiosité et désobéir, je me suis bandé les yeux. La chambre devait être illuminée uniquement avec des bougies. Pour indiquer plus facilement la chambre à Madame Dominique, je devais faire des panneaux en papier avec des flèches pour indiquer le chemin, et accrocher ces panneaux aux murs. Détail important, ces panneaux devaient aussi porter des obscénités et des insultes contre ma propre personne et décrire ce que je voulais de Madame Dominique. J'avais alors donné libre cours à mon imagination: "je suis une salope", "je veux me faire défoncer comme une vraie pute", je serai votre chienne Madame", "faites de moi Votre esclave", "Permettez-moi de nettoyer vos chaussures avec ma langue", "que Votre Sceptre Royal (GODE) soit long et gros, comme je les aime".

J'ai ensuite entendu la porte de ma chambre qui s'ouvrait et des choses qu'on posait par terre.

  • Bonsoir Madame, soyez la bienvenue, j'espère que Vous avez apprécié l'accueil, dis-je un peu intimidé.

  • Et comment! Il n'y a pas de doute! pour une surprise, c'était une bonne surprise mon chéri, meilleure que la mienne.

En un instant, j'ai réalisé que je connaissais très bien cette voix. C'était Simone, ma fiancée. Elle était partie en voyage et ne devait rentrer que deux jours après. Je me suis rappelé qu'elle avait ses clés. Mon S a n g a glacé et ma gorge séché. Je défis mon bandeau et me suis retourné, en sachant pertinemment qu'elle avait dû tout comprendre.

  • Je ... je peux t'expliquer, Simone.

  • Je crois que ça va, tu attendais quelqu'un d'autre. Mais c'est pas grave. On va l'attendre ensemble. Remets-toi comme tu étais, sale pute.

Elle est venue jusqu'au lit, me donna une grande tape dans les fesses, griffa ma queue bandante avec ses ongles longs, me remit mon bandeau et nous avons attendu les 10 minutes les plus longues de toute ma vie. Passé ce temps, la clef a tourné a nouveau dans la serrure et de nouveaux pas ont résonné sur le parquet.

SIMONE

La semaine de conférences avait été un peu pénible, mais j'étais contente de rentrer à la maison quelques jours plus tôt pour rencontrer mon chéri. En plus j'étais anxieuse pour lui montrer mes nouvelles bottes. Elles sont marrons, me montent jusqu'aux genoux, avec des bouts pointus et des talons hauts. Je me sentais très sexy avec elles, mais aussi avec une certaine puissance.

Dès que j'ai ouvert la porte de l'appartement, j'ai été un peu étonnée de ce que j'ai lu sur le papier accroché au mur ("je suis une salope"). Et les écrits devenaient plus "chauds" a mesure que j'avançais dans le couloir et suivais les flèches qui menaient vers la chambre. Je me demandais ce que j'allais y trouver. Un peu anxieuse, j'ai ouvert la porte de notre chsmbre. Lucien était là, à quatre pattes, nu et bandait comme un âne, le cul tourne vers la porte. Il portait aussi mon tablier de cuisine et avait les yeux bandés. Quand il s'est rendu compte que c'était moi et non pas la personne qu'il attendait, il a voulu s'excuser et se justifier. Hors de question! Il attendait quelqu'un? Alors, on l'attendrait ensemble. J'ai pris les devants et l'ai ordonné de revenir à la position dans laquelle je l'avais trouvé. J'ai parlé doucement mais avec l'autorité de quelqu'un qui n'était pas prête à écouter, ni à en débattre et il m'a immédiatement obéi. Lucien tremblait visiblement. Je suis alors allée m'asseoir sur le canapé à côté du lit et ai allumé une cigarette, en lui envoyant la fumée sur la figure, ce qu'il déteste. Qui que ce soit la femme qu'il attendait, ce devait être une femme Dominatrice, les écrits étaient très explicites. Une Dominatrice à laquelle il était soumis, sans que je me sois jamais rendu compte. J'enrageais! Qui ça pouvait bien être? Sa secrétaire? La fille du dessus qui se fait baiser deux et souvent trois fois par nuit? C'est en me posant ces questions que j'ai regardé le téléphone et le magazine posé à côté que j'ai tout compris. C'était le Guide du Fétichiste à Paris, ouvert sur une page d'annonces d'amatrices, de salons etc, avec un numéro d'une agence de call-girls surligné. Voilà! Il avait appelé une call-girl Dominatrice! Il voulait jouer à des jeux de Domination/soumission? Alors on allait jouer ensemble. Il fallait faire vite car la personne devrait arriver bientôt. Je suis allée me déshabiller, à exception de mon porte-jarretelles et de mes fameuses bottes neuves, qu'il allait devoir goûter aussi, puisqu'il semble aimer ça.

On a entendu la porte d'entrée s'ouvrir et des pas sur le parquet. La porte de la chambre s'est ouverte et une belle femme a fait son apparition. Elle était noire, grande, plus grande que moi et peut être même plus grande que Lucien. Elle portait un pantalon jeans très serre qui marquait bien ses cuisses, mais aussi (PUTAIN) une grosse bosse entre ses jambes. Elle avait visiblement des gros seins, un air sévère et des bottes pointues et aves des talons hauts, plus larges et plus hauts que les miens.

  • Bonsoir, Madame, lui dis-je en prenant les devants.

  • Je ne savais pas que ça devait être pour deux personnes ... mais c'est pas grave. Je peux travailler en double...

  • Non ... enfin ... je suis désolé de Vous interrompre, ce n'est que pour lui, je suis sa femme et voudrais qu'on le fasse à deux, cette salope mérite bien de se faire défoncer et mettre au pas.

  • D'accord ... Pas de problème ... Je suis Madame Dominique.

  • Je m'appelle Simone et lui c'est...

  • Notre salope. N'est-ce pas, salope?

  • Oui, Madame Dominique.

J'étais complètement émerveillée par la soumission de Lucien et par la présence de cette Femme. Elle lui a enlevé son bandeau et dès qu'il l'a vue, sa queue s'est mise a grossir encore plus.

Madame Dominique prend alors une laisse, qu'Elle attache autour du cou de Lucien. Elle le tire vers Elle au point que sa bouche est collée à Sa jambe et à l'énorme bosse formée par son gode-ceinture emprisonné à l'intérieur.

  • Alors comme ça, cette salope veut se faire baiser devant sa femme? Tu as l'air d'être une bonne pute bien soumise. Et toi Simone, comment est-ce que tu veux participer?

  • Je ne sais pas Madame Dominique ... Je n'ai jamais fait ça.

  • Alors tu seras mon élève, d'accord?

  • Oui Madame Dominique.

  • Veux-tu être sa Femme Dominatrice? Le baiser autant que tu veux.

  • Oh oui, Madame. Je veux qu'à partir d'aujourd'hui il devienne ma salope.

  • Très bien, mais sache qu'au dessus de toi, il y aura toujours Moi. J'aurai toujours l priorite sur lui et tu ne recevras des ordres ou des intructions que de Moi. Compris?

  • Oui Madame Dominique, j'ai compris.

  • Voyons de quoi tu es capable. Dans Mon sac tu trouveras du matériel. Sers toi.

LUCIEN

Simone ne s'est pas fait prier. J'étais au comble de la honte et du désir. Cette Femme était extrêmement belle, ma queue très dure et ma femme très enragée. Simone a ouvert le sac et en a sorti beaucoup de matériel, qu'elle a posé sur le canapé. Ensuite elle est allée dans la salle de bains, certainement pour s'habiller. Pendant ce temps, Madame Dominique, m'a ordonné de lécher la longueur de son gode à travers ses jeans. Le gode ne semblait pas très long mais devait avoir 4 ou 5 bons centimètres de diamètre. Ensuite, Elle a déboutonné son pantalon et m'a donné ses fesses a lécher.

  • Tu es vraiment une pute. Lèche Mon cul sale chienne, et en disant cela, Madame Dominique a écarté Son string pour laisser passer ma langue.

  • Merci, Madame Dominique

  • Très bien. Tu es vraiment une bonne pute. Lèche, Lèche Moi bien l'anus. Deviens Mon esclave. ....Ah oui ... enfile ta langue plus loin salope

Ma langue a pénétré dans ce trou serré et commençait à aller de plus en plus loin. Madame Dominique tenait ma tête pressée dessus et poussait en arrière. Plus je léchais et plus je me sentais autant humilié qu'excité. À cet instant, Simone est apparue à côté de cet anus que je léchais. Je me suis retourné vers elle et vu qu'elle portait les mêmes bottes et le même porte-jarretelles, mais maintenant portait aussi un énorme gode-ceinture.

  • Je demande la permison d'intervenir, Madame Dominique.

  • Accordée. Montre-lui qui commande.

  • Assez léché des culs salope. Suce-moi, me dit-elle, tout en me crachant dessus.

  • Oui, Madame

  • MADEMOISELLE SIMONE. Tu vas m'appeler comme ça maintenant, salope. T'as oublié qu'on n'est pas mariés? J'ai d'ailleurs d'autres plans pour la suite de notre relation.

  • Oui, Mademoiselle.

Madame Dominique donna alors la laisse à Mademoiselle Simone, qui me tira vers son gode. Madame Dominique me prit aussi le cou au moment ou Mademoiselle Simone m'a pénétré la bouche avec v i o l ence. Je pouvais difficilement prendre entièrement ce gode, tellement il était long et large, mais Mademoiselle Simone s'en foutait totalement et me pistonnait en faisant des va-et-vient de plus en plus v i o l ents. Je sentais ma bouche v i o l ée. De salive descendait de ma bouche pour inonder ma poitrine. Ma queue était dure comme du béton et mon dos commençait à me faire mal. Car pendant que Mademoiselle Simone me v i o l ait la bouche, Madame Dominique me fouettait le dos. Au bout d'une trentaine de coups, Elle s'est arrêtée. Mon dos était complètement rouge.

  • Arrête de sucer salope, maintenant tu vas goûter aux joies du sexe anal, m'annonca-t-elle. J'espère que tu es endurant, parce que ça va pendre un peu de temps.

SIMONE

Quand je lui ai craché dessus, bien au milieu de la face, je me suis sentie vengée, mais pas totalement. Puisqu'il aimait sucer et se soumettre, j'allais lui donner ce qu'il voulait, d'autant plus que je prennais beaucoup de plaisir à ces nouveaux jeux. Madame Dominique m'a donné la laisse et l'a poussé vers mon gros gode. C'était le plus gros que j'avais vu de toute ma vie. Il était long de plus de 20 cm, large et surtout, avait une tête en forme de champignon encore plus large que la verge et des veines tres prononcées. Dès que je l'ai vu, je me suis dit que j'aurais pas voulu prendre un truc pareil dans le cul. Par contre quelque chose me disait que j'allais aimer ce gode.

Lucien voulait sucer doucement cette salope. J'allais pas en plus le laisser choisir. Sans qu'il s'attende, je lui ai enfoncé le gode dans la bouche. Mes deux mains lui tenaient la tête fixe alors que mes coups de anche lui envoyaient le gode en pleine gorge.

Madame Dominique n'est pas restée en spectatrice. Elle a pris un petit fouet, avec beaucoup de lanières et a commencé à lui fouetter le dos. J'ai compté 35 coups en tout. Ça devait faire bien mal, d'autant plus qu'Elle le fouettait avec toute sa f o r c e . Mais il n'a pas réclamé une seule fois. Il devait avoir l'habitude de la soumission et des punitions la salope. Après son fouetage, Madame Dominique voulait l'enculer, alors, j'ai reculé pour sortir le gode de sa gorge. Lucien avait failli s'etouffer plusieurs fois avec ce gros gode au fond de la gorge, mais encore un fois, aucune réclamation, au contraire, quand je me suis retirée, sa bouche a essaye de suivre le gode. Ce pourquoi il a pris deux v i o l entes gifles.

Madame Dominique est allée s'asseoir là où j'étais quand elle est entrée.

  • Ramène-moi cette chienne, me dit-Elle.

Je le tenais toujours par la laisse et l'ai fait marcher à quatre pattes jusqu'à Madame Dominique. Elle lui a demandé de se lever et de pencher, les mains appuyées sur la table de chevet. Ensuite, Elle m'a demandé d'aller chercher le plat pour chien qu'Elle avait apporté et demandé de le branler, sans le faire éjaculer. Avant de commencer à le branler, je lui ai griffé le dos avec mes ongles longs, ce qui lui a fait gémir un peu. Il était debout, penché sur la table de chevet et moi, je le branlais, derrière lui. Madame Dominique a enfilé un gant long en latex et s'est mis du gel dessus. Elle commence alors a lui enfoncer ses doigts dans l'anus et faire des va-et-vient. D'abord un doigt, ensuite deux rapidement suivi d'un troisième. Notre salope gémissait et demandait "encore, encore".

  • Tu veux te faire enculer, n'est-ce pas? demande Madame Dominique

  • Oui, Madame Dominique enculez-moi avec votre gode.

  • Demande plus fort. Dis moi quelle genre de chienne tu es.

  • BAISEZ MOI MADAME JE VOUS EN SUPLIE.

  • Alors, à 4 pattes sur le lit, chienne

Après qu'il ait immédiatement obéi, Madame Dominique me fait signe de l'enculer. Elle prend ses deux fesses et les écarte, tandis que je masturbe un peu mon gode encore mouillé avec la salive de notre salope. J'approche le gode-ceinture de son anus et pose la tête sur l'entrée. J'étais tellement excitée et mouillais tellement que mon clito commençait a goûter comme un robinet. Quand j'ai commencé a l'enculer, j'aurais voulu avoir une vraie queue et non pas ce gode-ceinture. J'aurais voulu sentir moi-même son cul se dilater. Tout comme lorsqu'il m'a sucé, je voulais le v i o l er!! Avant c'était par la bouche et maintenant par le cul. Mais il ne se plaignait pas et en redemandait toujours autant. Madame Dominique se faisait sucer Son gode-ceinture, mais je le pistonnais tellement fort que plusieurs fois, il a dû arrêter de sucer pour gémir ou pour rattr a p e r l'énorme gode-ceinture devant lui. Fatiguée de le baiser au bout de quelque temps, je suis allée m'asseoir sur le canapé, tandis qu'infatigable, cette panthère noire continuait de v i o l er la bouche de mon ex-fiancé, et nouvelle salope. Quand Madame Dominique a arrêté, Elle lui a donné permission de se branler, mais de n'éjaculer ailleurs que sur l'assiette de chien.

LUCIEN

  • Oh, mais quelle pute. Tu suces comme une vrai pute. Branle toi sur l'assiette maintenant pendant qu'on se repose. Ce n'est pas fini, sache-le. D'ailleurs, tu vas te branler pendant 5 minutes, toujours avec la même intensité et seulement après tu pourras éjaculer, en sachant que si dans 5 minutes et demie on ne voit pas ton sperme immonde se répandre sur cette assiette, tu vas le payer cher.

  • Oui Madame Dominique.

  • Et on veut voir beaucoup de sperme. Dém e r d e -toi pour en avoir.

Je n'avais autre solution que d'obéir et d'essayer de me retenir pendant 5 minutes, alors même que j'avais envie d'exploser. Je me suis branlé, branlé, branlé, pendant que mes deux Dominatrices discutaient à voix basse. Ma queue était déjà complètement mouillée et prête à éjaculer. C'est alors que j'ai eu la délivrance.

  • Ça y est mon petit. Tes 5 minutes de branlette se sont écoulées, maintenant vas-y.

Au moment où j'allais éjaculer, les deux femmes ont mis leurs bottes dans l'assiette. J'ai giclé plusieurs fois, mais elles n'ont pas enlevé leur bottes. Au contraire, Mademoiselle Simone, mon ex-fiancée et nouvelle Maîtresse a levé sa botte jusqu'à ma queue et plus de sperme encore s'est répandu dessus. En posant son pied, elle est allée tellement fort qu'un peu de sperme a giclé par terre. J'ai alors levé les yeux et leurs regards sévères me les ont fait baisser tout de suite.

  • TU AS DESOBÉI SALOPE. J'avais dit pas une goûte de sperme ailleurs que sur l'assiette et de dém e r d e r pour ça. maintenant tu vas devoir tout nettoyer, COMPRIS?

  • Oui Madame Dominique.

J'étais toujours à genoux et les deux femmes se sont assis sur le lit. Mademoiselle Simone a levé sa jambe et sa botte s'est posée sur ma poitrine.

  • Lèche chienne!!

  • Oui Mademoiselle.

  • Mieux, je veux que tu lèches et que tu suces aussi. Vas-y, sers-toi de ton propre sperme salope. Si tu les as abîmées, tu vas devoir me payer deux nouvelles paires. Et dépêche toi, qu'il ne faut pas que ça sèche dessus.

Mon humiliation était totale. J'ai ouvert la bouche et Mademoiselle Simone y a enfoncé sa botte. Le bout était très pointu. Les bottes étaient neuves et sentaient encore le cuir. Mon sperme était un peu chaud et très épais. Les bottes étaient l'un de mes nombreux fétiches. Je les aimais pointues au bout et avec un talon assez haut, rond et un peu large. Comme ça, je voyais l'image d'une queue. Les bottes de Madame Dominique étaient exactement ce que j'aimais. Après y avoir léché le bout, elle s'est retournée et demandé de sucer son talon. Pour ça, elle était a genoux sur le lit, et moi derrière elle, à genoux en train de sucer ce talon tandis que Mademoiselle Simone me tenait la tête. J'ai sucé comme une traînée.

Dix minutes après j'avais léché les deux paires de bottes et ensuite le parquet, là où le sperme y avait giclé.

  • Bien, très bien salope. Tu as bien sucé et léché nos bottes. Tu as désobéi et corrigé ton erreur, mais, je ne me souviens pas que tu aies été puni pour ta désobéissance, me dit mon ex-fiancée, qui prenait de plus en plus les commandes. Tu vois le gode de Madame Dominique? Tu vois comment il est large et plein de veines. Je parie que tu veux le prendre aussi, n'est-ce pas?

  • Oui, Madame

Mademoiselle Simone est venue rapidement vers moi et m'a giflé 3 fois le visage.

  • NE T'AI-JE PAS ENCORE DIT QUE J'ETAIS MADEMOISELLE SIMONE? SALOPE. Couche toi sur le dos, salle pute.

Elle avait giflé tellement fort que j'avais senti mes joues en feu. Je me suis couché sur le lit. Mademoiselle Simone est, Elle aussi monté sur le lit, debout et marché jusqu'a ce qu'elle se trouve juste au-dessus de mon visage. "oh non, elle va me pisser dessus", ai-je pensé. Mais au lieu de ça, Mademoiselle Simone s'est lentement assise sur ma langue, qu'elle m'a ordonné de sortir au maximum.

  • Mets ta langue dans son anus, poufiasse, dit Madame Dominique.

J'ai obéi sans réclamer de quoi que ce soit. Madame Dominique me prît alors les deux jambes, qu'Elle a levé bien haut et approcha son large ceinture de ma queue.

  • Tu sens comme il est dur ce gode? Prends-le dans ta main.

J'ai tendu mon bras jusqu'a ce que je puisse toucher son gode-ceinture. PUTAIN il était vraiment large. Madame Dominique m'a mis du gel dans la main et ordonné de la "branler". J'ai alors commence a faire des va-et-vient. Ma queue était a nouveau toute dure, mais maintenant elle me faisait un peu mal. Quand Madame Dominique m'a pénétré, ça m'a vraiment déchiré l'anus, même si Son gode etait moins large que celui de mon ex-fiancée et nouvelle Maitresse. D'abord, par la largeur de la tête du gode-ceinture, ensuite, par les veines qui me faisaient mal chaque fois qu'elles traversaient l'entrée du trou du cul. D'un côté, je me faisais défoncer le cul, de l'autre, ma langue devait pénétrer un cul au plus profond. Au bout de quelques minutes, Madame Dominique m'a annoncé qu'elle était fatiguée de cette position, m'a ordonné de ma coucher sur le côté, et la séance a continué. Mademoiselle Simone, est revenue vers ma bouche et recommençait à me la v i o l er. Un quart d'heure après, elles se sont retirées. Mon anus saignait un peu et me faisait très mal.

SIMONE

J'étais complètement émerveillée par la capacité de mon nouvel esclave à se faire sodomiser par un aussi large gode-ceinture et avec toute la v i o l ence que Madame Dominique y avait mis. Moi-même je ne lui avais pas fait cadeau.

  • Tourne-toi salope, on veut voir l'effet de ce gode sur ton cul, lui dit Madame Dominique. Remets-toi a quatre pattes. Reviens dans ta position de chienne.

L'esclave s'est remis dans son ancienne position et Madame Dominique lui a écarté les fesses.

  • Viens voir Simone. Tu vois comment je lui ai écarté le trou du cul? J'ai dû lui faire un peu mal, mais c'est exactement ce qu'il aime. Se faire défoncer sans ménagement. Avec son cul aussi ouvert, je pourrais le fister ou enfoncer un large plug. Je crois qu'il pourrait même se prendre un large concombre sans problème. N'hésite jamais à en arriver là, sauf si ton esclave te demande d'arrêter. Autrement, tu peux le pousser à ses limites. Chaque séance doit le mener à se dépasser un peu plus, à le faire sentir encore plus soumis à toi. N'hésite pas à le tester.

Madame Dominique s'est ensuite levée pour commencer à garder son matériel.

  • Viens enlever nos godes-ceinture salope, mais seule ta bouche doit toucher les godes, pas tes sales mains, COMPRIS? Tu vas les prendre et aller les laver. Cette fois-ci l'ordre venait de Mademoiselle Simone.

  • Oui Mademoiselle.

LUCIEN

Toujours à genoux, j'ai tenu la partie queue des godes-ceinture entre mes dentes et n'ai fait usage de mes mains que pour les détacher. Je les ai lavés et remis dans leurs boîtes. De retour à la chambre, Madame Dominique et Mademoiselle Simone discutaient joyeusement et il m'a même semble qu'elles échangeaient des idées pour une nouvelle séance.

  • ne Vous inquièetez pas. Il est riche et peut bien payer quelques petits amusements pour sa nouvelle Maîtresse, n'est-ce pas salope? me demanda Mademoiselle Simone

  • Oui Mademoiselle

  • Voici ta facture. J'ai ajouté le gode noir, tu te rappelles? Celui que portait Simone et qui t'a si bien défoncé. Elle a aimé et je le lui ai vendu.

  • Pas de problème Madame Dominique

  • Quelle bonne chienne. Viens accompagne moi jusqu'à l'ascenseur.

Toujours en tablier et à genoux avec la laisse autour du cou, j'ai accompagné Madame Dominique jusqu'à la porte. Lorsqu'elle a ouvert la porte, nous avons entendu des voix. Malgré moi, Madame Dominique m'a tenu bien fermement et me tirant vers le couloir de l'immeuble, tandis que Mademoiselle Simone était assise sur mon dos. Heureusement, le couple dans le couloir, nos voisins de palier, nous tournait le dos et a fermé la porte juste après être entrés. Je crois qu'ils ne se sont doutés de rien. Mais lorsque l'ascenseur est arrivé, il n'était pas vide!

Il y avait un homme à l'intérieur. Après l'avoir salué, Madame Dominique avec l'air le plus naturel du monde, se tournée vers moi, me détache la laisse, fait la bise a Mademoiselle Simone et est entrée dans l'ascenseur. J'étais m o r t de honte et bandais comme un cheval. En regardant devant moi, a l'intérieur de l'ascenseur, j'ai été choqué de me rendre compte que je n'étais pas le seul. La porte de l'ascenseur s'est refermée et nous avons retourné chez nous. Moi toujours a quatre pattes et Mademoiselle Simone toujours sur mon dos. Dès que nous sommes entrés et fermé la porte, elle m'a demandé:

  • L'homme de l'ascenseur, c'est pas celui qu'on entend de temps en temps baiser bruyamment? Celui qui a organise une partouze il y a une semaine?

  • Euh ... oui, Mademoiselle Simone, je crois que c'est lui qui habite juste au dessus de nous.

  • J'ai eu l'impression, par la remarquable bosse dans son pantalon, qu'il a aimé ce qu'il a vu, tu crois pas? ... En tout cas, merci pour la surprise a mon arrivée salope. Demain on va rendre visite à notre voisin, d'accord?

  • Oui Mademoiselle Simone.

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Se faire baiser devant sa femme doit être aussi grisant qu'humiliant. Bravo et merci pour ce récit
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